Enfin, dans un contexte marqué par des taux d’intérêts et prix de l’immobilier encore élevés – malgré leur baisse – Michel Barnier pourrait reprendre l’idée d’un coup de pouce proposé par la coalition présidentielle à destination des primo-accédants.
Il s’agirait de supprimer les frais de notaire, cette somme qui s’ajoute au prix d’achat et représente environ 7 à 8% du prix du bien dans l’ancien et 3 à 4% dans le neuf.
De quoi, peut-être faciliter l’obtention d’un crédit immobilier pour un premier achat immobilier. Pour autant, dans la proposition, la suppression des frais de notaire se limiterait aux acquisitions immobilières dont le montant est inférieur à 250 000 euros.
Source : Caroline Robin – Capital.fr